[Portrait] Annaëlle Bonnot : étudiante sportive de haut niveau

 
Publié le 1/12/2020 - Mis à jour le 4/05/2023
A l'occasion de la Journée internationale des personnes en situation de handicap du 3 décembre 2020, découvrez Annaëlle Bonnot qui pratique le tennis de table en compétition de haut niveau depuis de nombreuses années. Découvrez son incroyable palmarès !
 
Actuellement en M1 STAPS Ingénierie et ergonomie de l'activité physique à Nancy, Annaëlle est diplômée d’une licence Science de la Vie à l'Université du Havre, sa ville d’origine. 
 
Annaëlle a commencé le tennis de table à 14 ans, un peu par hasard. Son père a eu l'envie de s'inscrire dans un club car il en avait fait plus jeune en loisir. C’est Michel Peeters, ancien champion ^paralympique, qui encadrait les cours en loisir d’Annaëlle. 
C’est en 2016, qu’elle se fait repérer par un entraineur, qui va pousser Annaëlle en compétition valide puis handisport.
A force de travail, Annaëlle s’est fait repérer par la Fédération de tennis de table qui lui a permis de participer à de nombreuses autres compétitions et à des stages d’entrainement avec l’équipe de France Espoir.
 
Malgré le fait qu’elle trainait des pieds pour aller à son tout premier entrainement, Annaëlle a fini par réellement accrocher avec ce sport et pour preuve, voici son incroyable palmarès :
  • championne de France en simple classe 5 en 2018 et 2019
  • vice-championne de France en double mixte avec Maxime Thomas en 2019
  • championne d’Europe par équipe aux Jeux Paralympiques de la Jeunesse à Lahti (Finlande) avec Flora VAUTIER en juillet 2019
  • médaille de Bronze en simple aux Jeux Paralympiques de la Jeunesse à Lahti 2019
  • médaille de Bronze en simple aux Jeux Universitaires à Coimbra (Portugal) en juillet 2018 en représentant l’université du Havre
  • vice-championne de France Jeunes (mixte - 21 ans) en 2018
  • médaille de Bronze aux Championnat de France Jeune (mixte -21 ans) en 2017 
 
Ses objectifs : continuer à s'entrainer pour progresser et atteindre le plus haut niveau possible, en espérant participer à des grandes compétitions comme les Jeux Paralympiques ou des Championnats d'Europe et du monde. 
Annaëlle reste objective : elle préfère se concentrer sur sa progression et sa préparation parce que dans le contexte on ne sait pas si toutes les compétitions pourront être maintenues.