Vous avez nouvellement rejoint le club étudiants-chercheurs Mat & Met en tant que doctorante co-porteuse du club, pouvez-vous vous présenter ?
Emilie Wiedemann-Fodé : Je suis doctorante en 1ère année en biomécanique sous la direction de Cédric Laurent, maître de conférences en biomécanique. C’est d’ailleurs par mon directeur de thèse que j’ai découvert le club en début d’année, lorsque j’effectuais mon stage de fin d’études et que je cherchais une thèse en biomécanique.
Mon objectif était, et c’est toujours le cas, de travailler dans la recherche. Ainsi, intégrer ce club m’a permis de rencontrer d’autres étudiants, notamment des doctorants, et de discuter avec eux notamment de mes questions concernant la thèse. Cela m’a également permis de créer une sorte de réseau où l’on communique les uns et les autres sur nos projets et/ou recherches.
Que pouvez-vous nous dire sur votre club ?
Emilie Wiedemann-Fodé : Le club Mat & Met est un club pour les étudiants en L3, M1 et M2 ainsi que pour les doctorants dont l’objectif principal est de faire découvrir la recherche dans les domaines de la biologie et de la mécanique. Mais ce club est également ouvert aux étudiants venant d’autres disciplines comme le droit, les sciences humaines ou encore l’informatique. Le but est de travailler ensemble sur la thématique de la biomécanique et que chacun puisse apporter ses compétences/connaissances, comme la question de l’éthique ou certains aspects techniques ou méthodologiques propres à chaque discipline.
Différentes activités sont proposées que ce soit des rencontres entre étudiants/doctorants, visites de laboratoires, séminaires afin de partager ses connaissances, découvrir un métier de la recherche mais aussi de travailler sur des projets à plus ou moins court terme. De plus, il est également possible d’obtenir des bourses de stage via le club.
Que direz-vous à des étudiants qui hésitent à rejoindre votre club ?
Emilie Wiedemann-Fodé : Rejoindre le club est une superbe opportunité pour tout étudiant intéressé par la recherche en général ou simplement curieux. Car cela permet de découvrir le monde de la recherche pendant ses études pour réfléchir à une éventuelle thèse ou simplement pour travailler sur un projet avec d’autres, faire de nouvelles connaissances et élargir ses compétences.
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