Le 28 octobre dernier a eu lieu le lancement du réseau des ambassadeurs et ambassadrices du changement. Factuel est allé à la rencontre de 4 nouveaux membres du Deep Change Lab afin de connaître leurs motivations et leurs ambitions.
Cette matinée de lancement, présentée par les animateurs du « Deep Change Lab » et Sabine Goulin (Directrice Générale Adjointe de l’Université de Lorraine Déléguée au Pilotage et Conduite du changement), avait pour objectifs de présenter les valeurs du Lab, les règles pour ses membres, le parcours de formation, les prochaines étapes et de commencer une sensibilisation au design et à l’innovation. Pour rappel, l’objectif de ce lab est de porter le changement pour être plus efficace auprès des utilisateurs des services du site lorrain.
Pouvez-vous vous présenter ?
Catherine : « Bonjour, je suis Catherine Larriere, Responsable administrative et Chargée de gestion d’une unité de recherche Animal et Fonctionnalités des Produits Animaux. »
Maud : « Je suis Maud Clarus, actuellement Sous-Directrice Adjointe au sein de la Direction de la Recherche et de la Valorisation et je suis en charge de la formation doctorale, des études doctorales. »
Benoît : « Mon nom est Benoît Roussel et je suis Enseignant-Chercheur à l’ENSAIA (Ecole Nationale Supérieure en Agronomie et Industries Alimentaires). Je travaille dans le domaine de l'innovation et notamment les processus interdisciplinaires pour mailler les gens ensemble et imaginer de nouvelles façons de résoudre les problèmes. »
Sandra : « Je suis Sandra Kenzari, actuellement Référente administrative de la cellule d’appui du Collegium Sciences et Technologies et bientôt, dès le 1er novembre, Responsable administrative du laboratoire GéoRessources de l’Université de Lorraine. »
Qu’est-ce qui vous a motivé à devenir Ambassadrices et Ambassadeur du changement ?
Catherine : « Je ne connaissais pas le concept à la base, mais j’ai été attirée par la vision de simplification dans les organisations de travail et surtout la possibilité d’effectuer des activités transversales au sein de l'établissement tout en apportant ma contribution. »
Maud : « Pour ma part, c'est parce que j'ai trouvé que c'était un projet innovant et j'avais aussi envie de diversifier mes missions. D’autre part, je me suis dit que cela me permettrait de rencontrer d'autres acteurs de l'université avec lesquels je n’ai pas forcément l'habitude de travailler. C'était aussi l’occasion de prendre part aux différents projets qui vont naître au sein de l'université et pouvoir mettre à profit mes compétences pour d'autres services. »
Benoît : « Ce qui m’a motivé à devenir Ambassadeur du changement sont les notions telles que travailler ensemble, croiser les métiers et également amener des solutions à des services ou à des acteurs qui en ont besoin. »
Sandra : « J’avais l’ambition de prendre de nouvelles fonctions de Responsable Administrative donc devenir Ambassadrice me permettait d’acquérir de nouvelles façons d’innover dans certains process de l’université. De plus, en tant que Collegium Sciences et Technologies, j’avais comme idée que cela puisse nous aider dans la coordination des écoles. »
Comment envisagez-vous de contribuer aux activités du Deep Change Lab ?
Sandra : « J’ai vu que l’engagement était de deux ans, je compte faire toutes les formations requises et m’investir au maximum afin de pouvoir retransmettre mes acquis aux autres et notamment à ma nouvelle structure. Être un membre initiateur et investi !»
Benoît : « Pour ma part, c’est en étant présent et en apprenant des autres, rencontrer de nouvelles personnes, connaitre et comprendre leur métier. Et également pouvoir former des équipes qui vont fonctionner avec la notion de bienveillance, nous sommes tous utilisateurs des services et combiner les points de vue des différents acteurs permettra de faire émerger de nouvelles choses. »
Catherine : « Je vais essayer d'apporter au collectif mon expérience professionnelle de 33 années au sein de l'université et pouvoir aussi être à l'initiation du changement qui va être fait et des nouvelles méthodes mises en pratique. Nous sommes dans des structures où les process peuvent être lourds. La simplification, c'est indispensable…c’est mon fer de lance ! »
Maud : « Je vois ce rôle d’ambassadeur comme chacun apportant sa « patte » et son expérience professionnelle au réseau, nous venons tous d’horizons différents avec un bagage différent. Se retrouver pour travailler ensemble sur des projets, voir des problématiques d’un autre point de vue, tout cela permettra d’avancer de façon constructive et coconstruite ! Je vois aussi cela comme un enrichissement personnel me permettant de rencontrer d’autres collègues et pouvoir faire bénéficier mon service des connaissances acquises dans le cadre du Deep Change Lab. »