[TCF] Réintégrer les mis en cause pour terrorisme : derrière les incertitudes, des enjeux majeurs

 
Près de « 10 % des condamnés islamistes pour terrorisme (TIS) et plus d’un tiers des détenus ordinaires suspectés de radicalisation (DCSR), qu’ils soient accusés ou condamnés, seront libérés d’ici la fin de 2019, et plus de 80 % des 143 personnes déjà condamnés le seront d’ici 2022 ». Cette déclaration du gouvernement français à travers le Plan d’action contre le terrorisme 2018 suscite aujourd’hui de nombreuses interrogations.