Le 21 octobre 2014, Ludovic Martinet, étudiant en doctorat d’histoire au sein du laboratoire Hiscant-MA, était élu vice-président étudiant par le conseil de la formation et le conseil de la vie universitaire. Après presque deux ans de mandat c’est l’heure du bilan.
Quel est votre bilan de mandat ?
En tout premier lieu, je tiens à remercier l’équipe politique pour son accueil et son intégration. Je me suis tout d’abord inscrit dans la continuité de mon (mes) prédécesseur(s), en consolidant les acquis dans le cadre de la construction de l’Université de Lorraine. A titre d’exemples, la formation intitulée ‘’Faites la fête‘’ est désormais inscrite dans le calendrier des associations étudiantes. Dans le cadre de l’organisation de soirées étudiantes, la formation à la prévention est instituée et la notion de responsabilité renforcée. Le Bonus Engagement étudiant s’est développé. Le dispositif FSDIE a favorisé l’émergence de nouveaux projets étudiants très diversifiés, et participe ainsi à la vitalité de la vie étudiante lorraine.
Avez-vous pu mettre en œuvre tous vos projets ?
J’ai participé à la mise en place de l’année de césure pour tous les étudiants, la labellisation des associations étudiantes, l’ouverture de la bibliothèque de la faculté de droit les samedis après-midi, les travaux sur l’ouverture en nocturne des BU avec une expérimentation attendue autour de la période des partiels, les relations avec le rectorat autour du bac -3 / bac +3. Un grand projet fut les régimes spécifiques d’études qui permettent aujourd’hui à des étudiants salariés, à des étudiants investis dans la vie politique de notre établissement ou au national, aux artistes de haut niveau et bien d’autres de profiter d’aménagement d’horaires et d’examens pour concilier leurs études et leurs activités. Et des projets impulsés comme celui portant sur les alumnis à l’échelle de notre établissement qui possède désormais une ossature et ne demande plus qu’à être étoffé et expérimenté.
Comment avez-vous conçu votre rôle de VPE?
J’ai essayé d’assurer le lien privilégié entre les étudiants et l’institution. J’ai été à leur écoute, j’ai souhaité être un relai de leurs difficultés en étant présent au sein du Comité d’action sociale étudiant (CASE) qui vient en aide aux étudiants en difficulté. Afin de favoriser leurs conditions d’études, je me suis pleinement inscrit comme leur représentant que ce soit auprès de l’université, du CROUS, de l’Etat et des collectivités locales. Plus de 250 réunions ont eu lieu sur différentes thématiques avec des étudiants, des enseignants, les personnels de l’établissement aux services des étudiants. Cette activité a été marquée par des rencontres très enrichissantes et passionnantes.