Exposition photographique "Les ailes de la Puszta"

 
Date(s): 
Lundi 11 juin 2018 - 08:00 - Vendredi 6 juillet 2018 - 17:00
Lieu(x): 
Bibliothèque Universitaire Saulcy
Ile du Saulcy 57000
METZ

La Pustza est la grande plaine herbeuse et marécageuse de Hongrie. C'est une immense steppe qui couvre une partie du centre de l'Europe, déclarée réserve de biosphère de l'Unesco depuis 1979. On peut y observer une très grande variété d'oiseaux migrateurs mais aussi de nombreuses espèces nicheuses. On y rencontre notamment les oiseaux les plus colorés de notre continent : guêpiers, rolliers ... mais aussi des espèces plus rares telles que le faucon Kobez ou la cigogne noire, difficiles à observer en France.

Cette exposition vise à mettre en valeur ce patrimoine naturel, mais aussi le travail formidable que font sur place les gardes du parc national d'Hortobagy pour la conservation et la protection de la nature.

Présentation des auteurs :

Annick GAUTHIER : Après une petite enfance en plein Sahara, entourée de dunes et palmiers et d’animaux « de compagnie » peu communs (guépards, hyènes, chacals, et autres varans ou vipères côtoyant scorpions, blattes et criquets), ce sont ensuite les forêts de la région parisienne, puis les Pyrénées, qui  ont entretenu sa passion pour la Nature, illustrée par le dessin et la poésie, et ensuite la photo. Si tout sujet l’interpelle, ses photos souvent « instinctives » visent à mettre en valeur les richesses de la nature, et à prolonger et transmettre les émotions ressenties à son contact. Elle travaille avec un Nikon D7000, des optiques Sigma (105 macro, 150-500 mm) et Tamron (16-300, 180 macro) et majoritairement à main levée, en lumière naturelle.

Didier ROBERT : Au début son approche était plutôt naturaliste, cependant au fils des années, il a commencé à intégrer une vision plus créatrice et artistique dans ses images. Il privilégie de plus en plus, les ambiances naturelles en intégrant le sujet dans le paysage. Ce qu’il préfère, ce sont les balades sur les pelouses calcaires des Côtes de Moselle ou de Meuse, ou les escapades dans les prés fleuris du printemps à l’automne, à la recherche de papillons rares, d’insectes colorés ou d’arachnides, ainsi que des libellules aux bords des étangs. Cependant, les hivers Lorrains étang longs et rigoureux, j’ai commencé à photographier les oiseaux. Il travaille avec un Nikon D7000, des optiques sigma (105 macro, 70-300 mm) et Tamron (150-600 mm).