Classement Stanford/Elsevier : Une reconnaissance mondiale pour la recherche scientifique
Chaque année, Stanford University, en partenariat avec Elsevier, publie le classement des 2% des chercheurs les plus cités au monde dans leurs disciplines respectives. Ce classement repose sur une base de données publique alimentée par Scopus et exploitée via l’ICSR Lab. Il regroupe environ 200 000 chercheurs de toutes disciplines, identifiés sur la base de métriques bibliométriques standardisées, telles que l'indice h, les co-publications ajustées et le nombre de citations. La rigueur de cette méthodologie garantit une reconnaissance équitable des contributions des chercheurs.
Ce que le classement représente
Le classement se décline en deux catégories : une couvrant l’impact des chercheurs sur l’ensemble de leur carrière et une autre focalisée sur leur influence au cours de la dernière année. Les domaines scientifiques sont divisés en 22 grandes catégories et 174 sous-domaines, ce qui en fait une évaluation complète et spécifique. Reconnu comme une mesure prestigieuse de l'excellence académique, il souligne l'impact des chercheurs dans leurs communautés scientifiques et au-delà.
Une réussite pour le LEM3 et l’Université de Lorraine
Cette année, cinq chercheurs du LEM3 (Laboratoire d'Étude des Microstructures et de Mécanique des Matériaux, UMR CNRS n° 7239) affiliés à l’Université de Lorraine figurent parmi les scientifiques distingués :
- Prof. A. Molinari (Professeur Émérite, retraité)
- Prof. L. Toth (Professeur Émérite, retraité) - Sur la photo
- Prof. J.F. Ganghoffer
- Prof. T. Grosdidier
- Prof. A. Rusinek - Sur la photo
Ces nominations témoignent de l’excellence des travaux menés au sein du LEM3 et de leur pertinence dans les discussions scientifiques internationales. Les chercheurs du LEM3 se concentrent sur des problématiques telles que la mécanique des matériaux, la modélisation des microstructures, et les sciences de l’ingénierie appliquées à l’industrie et à la recherche fondamentale.
Un impact régional et global
En France, ce classement reflète également la qualité des établissements de recherche comme l’Université de Lorraine, qui compte plusieurs scientifiques répartis dans différents laboratoires.