[Covid-19] La Fondation NIT lance un nouvel appel aux dons pour l'aide sociale des étudiants

 
Publié le 13/11/2020 - Mis à jour le 2/05/2023
"Une deuxième vague, un deuxième élan de générosité". C’est le slogan officiel pour le lancement de cette deuxième levée de fonds afin de venir en aide aux étudiants en situation de précarité alimentaire. Plus de six mois après le premier appel aux dons soutenant la Fédération étudiante de Lorraine (FEDELOR) et ses AGORAés étudiantes, la fondation de l’Université de Lorraine fait un nouvel appel à la générosité afin de soutenir les étudiants en situation de précarité alimentaire.
 

L’impact de la première vague

 
Nous avons accompagné durant cette crise exceptionnelle FEDELOR qui gère les épiceries solidaires par les étudiants et pour les étudiants (AGORAés de Nancy et de Metz), et nous souhaitons poursuivre cet accompagnement. Ces épiceries distribuent leurs produits à un tarif social : 90% du prix du marché (un paquet de pâtes passe de 1,39€ à 14 centimes) et elles sont des espaces de vie sociale pour les étudiants. Le nombre de bénéficiaires est passé de 156 à 274 à l’AGORAé de Nancy et de 123 à 239 à l’AGORAé de Metz suite à la première vague, doublant quasiment leur budget FEDELOR. Ce sont près de 15 tonnes de denrées alimentaires qui ont été distribuées, ainsi que 25 ordinateurs et 18 clés 4G, lors du premier confinement.
 

Quelle action pour cette seconde vague ?

 
Les dons récoltés bénéficieront prioritairement aux étudiants en soutenant les AGORAés pour maintenir leurs stocks. Pour la première fois, nous avons communiqué cet appel de fonds au-delà des communautés proches de l'Université de Lorraine, dans les boulangeries, en utilisant le support des sacs à pain. Le message vise à sensibiliser le grand public à cette situation et à encourager les dons en ligne ou en utilisant le bulletin figurant au verso du support. Vous pourrez les retrouver dans les boulangeries de Nancy et Metz. Parallèlement, la campagne sera diffusée sur les réseaux sociaux de l'Université de Lorraine et ceux de la Fondation NIT ainsi que sur les écrans des agences de la banque Populaire partout en Lorraine.
 

FEDELOR dans le besoin

 
Ce nombre de bénéficiaires en augmentation a évidemment augmenté les besoins dans les épiceries étudiantes solidaires de Metz et Nancy. Au premier confinement, la banque alimentaire a arrêté de fournir les AGORAés et l'approvisionnement  des produits a été difficile, y compris pour les livraisons avec des surcoûts pour la location des véhicules. Pour cette deuxième vague, « ce que FEDELOR demande, ce sont des moyens pour maintenir les stocks et proposer des produits aux étudiants qui en ont besoin » (Pheakdey Touch, présidente de FEDELOR). « Nos besoins sont surtout matériels à Metz, nous avons des petites capacités de stockage et un besoin de denrées alimentaires… » (Nathalie Meco, vice-président en charge de l’AGORAé). Nous comptons sur votre soutien. Retrouvez plus d’informations sur les besoins de FEDELOR et le bilan de la première vague en cliquant ici.