La fleur, siège de la reproduction sexuée de la plante, déploie des organes attractifs sensés répondre aux besoins alimentaires et reproductifs des insectes pollinisateurs. La fécondation croisée nécessite l’intervention de pollinisateurs, car si les fleurs sont généralement hermaphrodites, l’autofécondation conduit à une dérive génétique. Leurs stratégies d’attraction sont multiples et complexes, certaines fleurs sont même animées.
Par Aline Raynal-Roques et Albert Roguenant
Aline Raynal-Roques est botaniste tropicaliste, professeur honoraire du Muséum national d’Histoire naturelle, auteure de nombreuses publications.
Albert Roguenant est botaniste amateur depuis 1943, auteur de nombreuses publications sur les Orchidées et les Broméliacées. Il est aussi lépidoptérologiste, auteur de publications sur les Lépidoptères de Bourgogne.
Entrée libre
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