La maladie d'Alzheimer est une pathologie neurodégénérative qui touche un nombre croissant d'individus dans une société où l'on vit de plus en plus longtemps. Les outils diagnostiques permettent aujourd'hui de l'identifier précocement, mais malgré les efforts des chercheurs, il est encore impossible d'en guérir, puisqu'à ce jour, on ne sait même pas très bien comment elle se déclenche. Peut-on l'éviter, la retarder, la ralentir ?
Catherine Malaplate
Docteur, Maître de conférences des universités, praticien hospitalier, biologiste au laboratoire de biochimie, biologie moléculaire et nutrition du CHRU de Nancy, experte dans le domaine des marqueurs biologiques des maladies neurologiques (maladie d’Alzheimer et démences apparentées, sclérose en plaques). Chercheuse en neurosciences dans le domaine des lipides, du vieillissement cérébral et des maladies neurodégénératives à l’Université de Lorraine.
Thierry Oster
Professeur de biologie moléculaire et de biochimie à l’Université de Lorraine
Enseignant en Licence de Sciences de la Vie, en PACES et en IFSI, responsable du Master A3R en Santé (Autonomie et résilience : ressources et réseaux), directeur-adjoint du Collegium Sciences et Technologies.
Chercheur en neurosciences moléculaires à l’ENSAIA, étudiant l’influence des lipides alimentaires sur le vieillissement et les processus neurodégénératifs.
En partenariat avec la ville de Metz