Impressions d’Un jour à l’université…

 
Publié le 2/03/2017 - Mis à jour le 3/03/2017

Nathan et Lucas sont deux élèves de terminale du lycée Louis Bertrand à Briey, préparant respectivement un bac L et un bac ES.

Ils sont copains, c’est évident, mais ce qui les a amenés tous deux sur le campus du Saulcy durant leurs vacances d’hiver, ce lundi 6 février, c’est leur intérêt commun pour l’Histoire, et plus particulièrement, nous dit Nathan, pour l’histoire médiévale. C’est la raison pour laquelle, parmi les très nombreux cours où les enseignants de l’UL ont proposé d’accueillir des lycéens, ils ont opté pour « Lombards, Byzantins et Ostrogoths dans la péninsule italienne ». Fichtre… N’ont-ils pas été un peu dépassés, s’inquiète l’intervieweuse ? Pas du tout, nous assurent-ils, ils se sont même tout de suite sentis à l’aise. Un diaporama était projeté en appui du cours, nous racontent-ils, et l’enseignante interrogeait régulièrement les étudiants sur d’éventuelles difficultés de compréhension. La prise de notes n’a, semble-t-il, pas posé davantage de problèmes. 

Interrogés sur leurs raisons de s’inscrire en licence d’histoire, Nathan répond que son projet étant d’enseigner l’histoire,  la voie est toute tracée. Il nous assure même avoir hâte de venir à l’université pour étudier uniquement sa matière de prédilection. Quant à Lucas, il sera élève au conservatoire à la rentrée prochaine, mais souhaitant se ménager un « plan B », il a choisi la licence d’Histoire pour le bagage qu’elle apporte en termes de culture générale, dans la perspective éventuelle d’intégrer par la suite une école de journalisme.

Afin de « rentabiliser » leur venue à Metz, les deux garçons en ont profité, après leur cours, pour passer à la BU, dont la salle des périodiques les a impressionnés et où ils ont pu bénéficier d’une démonstration de méthodologie documentaire, histoire d’être le plus rapidement possible « dans le coup ».

Quant au campus, c’est spontanément qu’ils s’expriment à son sujet, pour s’étonner presque de le trouver si agréable et à « taille humaine ».

Soudain anxieux à l’idée de louper leur bus pour Briey, ils écourtent l’entretien et nous assurent avant de partir avoir bien utilisé leur journée.

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