[Retour sur] La première édition de la Semaine de la Recherche

Jeudi après-midi 23 janvier, le LEM3 a accueilli une trentaine d’étudiants venant de L1, M1 et M2 en physique chimie, photonique et optique des matériaux, génie civil, génie industriel, mécanique matériaux et Licence Pro Métallurgie. Chaque groupe de 4-5 étudiants a visité 6 plateformes autour de la construction additive, la déformation plastique sévère, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, les essais de fiabilité de circuits imprimés. Les étudiants ont ensuite rejoint la session poster organisée par les doctorants. Autour d’un gouter, doctorants, étudiants et chercheurs ont partagé leurs expériences de la recherche. Les échanges ont été très riches et les étudiants ont été vraiment ravis de découvrir la recherche en mécanique/matériaux. 

 

 

Le jeudi 23 janvier en fin d’après-midi, GeoRessources et le SGA Nancy Student Chapter ont organisé une conférence-débat dans la série « Géologues en terres inconnues » intitulée « de l’Afrique à l’Antarctique ». Anne-Sylvie André-Mayer, directrice adjointe de GeoRessources, professeur à l’ENSG et Pascal Robert, ingénieur de recherche à GeoRessources sont venus partager leurs aventures lors de missions de terrain. 80 étudiants ont répondu présents.

 

Le mardi 21 janvier après-midi, les chercheurs et doctorants du LRGP (Laboratoire Réactions et Génie des Procédés) et du LCPM (Laboratoire de Chimie Physique Macromoléculaire) ont présenté leurs activités de recherche à travers une visite guidée des deux bâtiments de l’ENSIC. S’en sont suivies des rencontres avec les scientifiques en matière de chimie et génie des procédés sur le site ainsi que des témoignages qui ont permis des échanges entre étudiants et chercheurs. Une trentaine de personnes se sont inscrites. 

 

 

Le mercredi 22 janvier, une après-midi découverte coordonnée par Daniel Malterre, chercheur à l’Institut Jean Lamour, professeur à la Faculté des Sciences et Technologies, responsable d’un parcours de Master de Physique, a été organisée conjointement avec la FST, le CRM2 (Cristallographie, Résonance Magnétique et Modélisations) et le LPCT (Laboratoire de Physique et Chimie Théorique), sur le campus Artem. 180 étudiants de L2, L3 et M1 étaient au rendez-vous pour des présentations de la recherche en amphithéâtre 200. Clotilde Boulanger, vice-présidente de l’Université de Lorraine en charge de la stratégie doctorale, leur a notamment dressé un portrait de la recherche au sein de notre université. Des visites des équipements de l’Institut Jean Lamour leur ont ensuite été proposées avec 4 parcours en fonction de leurs disciplines : l’électronique, l’énergie électrique & automatique, la métallurgie, la chimie et la physique.

Les étudiants ont également pu échanger avec les responsables des Masters concernés ainsi qu’avec les doctorants de l’IJL, qui les ont accompagnés pendant leur visite.

 

25 étudiants au niveau L3 Chimie et Classe Préparatoire ont visité le jeudi 23 janvier le Laboratoire Lorrain de Chimie Moléculaire L2CM.

Deux ateliers ont été proposé : la visite d’un laboratoire de synthèse de molécules bioactives, présenté par Nadia Pellegrini-Moïse et la visite de la Plateforme PhotoNS (spectroscopie optique – nano&interface – photovoltaïque), présenté par Katalin Selmeczi.

 

Le séminaire Travailler avec les Humanités Numériques a eu lieu le jeudi 23 janvier à la Bibliothèque universitaire de lettres, sciences humaines et sociales de Nancy a été suivi par un public de 70 personnes composé d’étudiants, de doctorants, de bibliothécaires, d’informaticiens et de chercheurs, venus de Lorraine mais de France. Le public a été conquis par la qualité des interventions qui cherchaient d’abord à démythifier un concept en pleine émergence dans les différentes disciplines des Sciences Humaines et Sociales. En plus de montrer, concrètement, quelles étaient les nouvelles compétences à acquérir pour les métiers de l’information scientifique et technique, la présentation de cas pratiques, puis les discussions auxquels ils ont donné lieu avec le public, témoignait d’une porosité entre les différents acteurs, qu’ils soient historiens, littéraires, juristes, informaticiens ou designers. Ceux-ci mettent en commun leurs compétences pour bâtir des projets dans le domaine des Humanités Numériques ; une coopération à l’œuvre tant dans l’enseignement, les projets de recherche ou dans les projets de numérisation des patrimoines archivés dans les bibliothèques et dans les Instituts de recherche.