A l'occasion de la signature de la convention 2018-2022 du Comité de Coordination et d’Orientation Scientifique de Lorraine (CCOSL), nous interrogeons les acteurs de cette instance qui coordonne la politique de recherche entre les différents Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technique (EPST), le Centre Hospitalier Régional Universitaire et l'Université de Lorraine. Poursuite des interviews avec Gilles Bloch, président directeur général de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale.
Quelle est la perception du CCOSL au niveau national ?
En effet le CCOSL est une instance unique avec une philosophie aboutie. Cela se traduit notamment par sa périodicité et sa structuration, ce qui en fait une instance fonctionnelle et très ouverte dans les échanges entre les partenaires. Le CCOSL offre ainsi à l'ensemble des acteurs une vue des différents domaines de compétences et thématiques de recherche du site.
Comment expliquer son succès ?
La dynamique est déjà en place et contribue à œuvrer sur un site proactif et ambitieux. La cohésion entre les partenaires en est l'exemple concret et en fait une véritable force au quotidien.
Si nous ne devions cibler qu’une action entre l’INSERM et l’Université de Lorraine dans le cadre du CCOSL, de laquelle seriez-vous le plus fier ?
Le CCOSL est une instance qui a fait ses preuves et dont l'efficacité pour les partenaires n'est plus à démontrer. Cette collaboration débutée il y a 10 ans a permis de mettre sur la table de nombreux sujets, de discuter d'enjeux aussi bien stratégiques, qu'opérationnels. La richesse de cette instance c'est sans hésiter les échanges réguliers qui permettent d'avoir une connaissance de l’ensemble des thématiques, des projets portés par les acteurs. Cette fluidité dans le partage de l'information offre une vue globale des points d'intérêts du site avec ses forces et ses faiblesses.